Un cours particulier permet à l'élève
d'être accompagné dans son travail de façon privilégiée, en tête à tête.
Le professeur donnant des cours
particuliers doit être expérimenté. Concernant le cours, il doit
trouver les analogies qui font comprendre; concernant les exercices, il
doit établir une progression adaptée à l'élève avec des
"marches" assez hautes mais restant faciles à monter; enfin il doit
donner les astuces et les ficelles pour être efficace le "jour J" lors
des DS, des examens et des concours. Je me préoccupe de l'amélioration
de l'apprentissage de l'élève en classe, de son état d'esprit
(attention, motivation, concentration). Cela demande du
« métier », de l'expérience. Cela nécessite d'être
passé par là soi-même, avec succès et cela implique également d'avoir
profondément réfléchi à son enseignement. Tout ceci demande des années
de maturation ou d'expérience.
Dans le domaine de l'aviation, on a coutume de dire « il n'y a pas de bon pilote, il n'y a que des vieux pilotes ». Je suis convaincu que cet adage convient parfaitement au domaine de l'enseignement. Etre professeur ne s'improvise pas, c'est un métier. Je vous invite à vous méfier des agences ayant pignon sur rue et qui emploient majoritairement des étudiants. En effet, les salaires qu'elles versent à leurs employés ne sont pas suffisamment attractifs pour qu'elles recrutent de vrais professeurs, de bons professionnels. Un exemple : les parents paient une heure de cours pour un enfant en terminale entre 36 et 45 euros (hors frais d'inscription), sur cette somme, le professeur ne touche que 13 à 16 euros ! Consultez ces différents avis. Nous ne demandons aucun frais d'inscription. Nous ne demandons pas non plus un engagement sur un nombre donné de cours, ainsi, au cas où il y aurait incompatibilité, la séparation est immédiate. Voir nos tarifs.
1. Notre rôle de professeur particulier
est de guider nos élèves dans la résolution de leurs problèmes et en
aucune manière de faire leurs devoirs à leur place, cela serait
particulièrement contre productif. Nous pouvons "décoincer" l'élève sur
une question, mais pas tout faire à sa place. Les "DM" (Devoirs à faire
à la Maison) sont proposés pour que l'élève cherche et sèche; il
faut savoir sécher sur des problèmes.
2. Les commentaires et les conseils que nous donnons à nos élèves sont
honnêtes et constructifs.
3. La relation avec nos élèves est professionnelle et non personnelle.
4. Nous reconnaissons le fait que nous ne pouvons répondre à toutes les
questions de nos élèves. Le cas échéant, nous chercherons assistance
afin de trouver la réponse la plus exacte possible ou nous guiderons
l'élève vers des ressources appropriées.
5. Nous sommes ponctuels à nos rendez vous de cours.
6. Toutes les informations, concernant nos élèves, sont confidentielles.
7. Nous sommes conscients que notre rôle est d'assister nos élèves et
d'adapter nos méthodes à leurs besoins. Notre rôle est également
d'inculquer, chez nos élèves, des méthodes d'apprentissage les plus
efficaces possible.
8. Nous informons les parents de nos élèves, si possible après chaque
cours afin de motiver leur participation dans l'accompagnement scolaire
de l'élève.
9. Notre rôle est d'amener nos élèves à l'autonomie afin qu'ils ne
soient pas de perpétuels assistés des cours particuliers.
10. Le maître met tout en œuvre pour que son élève le dépasse.
C'est un terme inventé par André Antibi
pour désigner le pourcentage de mauvaises notes que les enseignants se
sentent obligés d'infliger aux élèves sous la pression de la société et
de leur hiérarchie. La constante macabre, c'est une règle dramatique de
l'enseignement en France qu'André Antibi, directeur du laboratoire des
sciences de l'éducation de l'université Paul-Sabatier à Toulouse, a mis
quinze ans à établir. Que dirait-on d'un professeur de mathématiques
qui ne noterait aucun élève en dessous de 12/20, demande-t-il. Il
serait soupçonné d'être «mauvais» ou au moins «laxiste». Selon lui,
tout se passe donc comme si, pour que des notes soient considérées
comme bonnes, il fallait qu'il y en ait au moins autant de moyennes et
de mauvaises. C'est cette proportion, apparemment incompressible dans
le système français d'évaluation des élèves, d'un tiers de mauvaises
notes qui constitue la «constante». Elle est «macabre», ajoute le
chercheur, parce qu'elle casse et désespère chaque année un tiers au
moins de l'effectif scolaire puis étudiant. Ce système de notation
"pourrit l'Ecole", démobilise une partie importante des élèves, crée de
la rancune et de l'agressivité et finalement génère un taux constant
d'échec scolaire.
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Voir le livre "
La constante Macabre" d'André Antibi ainsi que le site internet :
http://mclcm.free.fr/